vendredi 8 juin 2012

Le Festivin en met plein la bouche à Place de l’Acadie

Jeudi soir dernier le Festivin s’est déplacé à Place de l’Acadie à Caraquet. Pour l’occasion les convives ont eu droit à une description des plats et des vins de la soirée en compagnie du sommelier-conseil Claude Mercier. D’abord afin d’amorcer la portion protocolaire de la soirée, l’organisation du Festivin a procédée à l’intronisation de deux nouveaux membres dans l’Ordre bachique du Festivin soit Robert Noël le sommelier d’Alcool Nouveau-Brunswick originaire de Lamèque, et Monsieur Aldoria Cormier de Caraquet qui siège au conseil d’administration du Festivin depuis plus de 4 ans.

Pour se faire le palais d’entrée de jeu, les invités ont eu droit à un succulent Pinot Grigio d’Italie. Le Beato Bartolomeo 2006 était sublime pour le prix.

La soirée s’est déroulé harmonieusement dans une cacophonie de discussions autour des tables où le ton augmentait au fil des 5 services. Au total c’est plus de 8 différentes sortes de vins qui ont été présentées aux gens qui avaient déboursé plus de 70 dollars chacun pour assister à cette activité qui en était à sa 5e édition sous l’égide de la commandite des Services Financiers Acadie.

Voici la liste des mets préparés par la traiteure Claire Minville ainsi que les vins présentés par le sommelier Claude Mercier pour accompagner ces bouchées :

1er service
Canapé de homard et coulis à la mangue
Cigare de tartare de saumon fumé à la rouille
Endives à la pâtes de crevettes et fines herbes

Vin :
Bouchard Père et Fils Pouilly-Fuissé 2005 (32.25$)

2e service
Crostini de mascarpone au saumon fumé
Poulet citronné au parmesan
Crevettes à la noix de coco
Asperges garnies de crabe

Vins :
Pfaffenheim Pinot Blanc 2004 (17.21$)
Maison Louis Latour Pinot Noir 2005 (21.73)

3e service
Brie sur confit de piment rouge
Champignon au gruyère
Asperges bardées de pancetta

Vin :
Casa Girelli Canaletto Montepulciano d’Abrusso 2005 (13.63)

4e service
Saumon grillé farci au fromage et épinards

Vins :
Gabriel Liogier Côteaux du Tricastin La Ferette 2003 (12.46$)

Mommessin Chiroubles Les Muriers 2004 (23.13$)

5e service
Crème brûlée à l’Amaretto

Vin :
Concha Y Toro Private Reserve Late Harvest Sauvignon Blanc 2003


Dans ma prochaine chronique je vous ferais part de la compétition de dégustation des sommeliers et celle des amateurs à laquelle j’ai participé hier vendredi. J’aurais aussi des détails concernant la grande dégustation publique qui se tiendra ce soir à 19 heures au Carrefour de la Mer et qui va donc cloturer les activités de cette 11e édition du Festivin 2007!

Ateliers des 13 et 21 juin



Nous sortons du Centre Socioculturel. Rendez-vous à 20h au Chateau de Pintray.

Au programme...
découverte du domaine avec Mr Philippe CHIGARD, spécialiste du travail de la vigne avec des chevaux et dégustation des vins.

Pour plus d'informations, RDV www.chateau-de-pintray.com et http://www.cheval-vigne-vin.fr/
Mai 2012 : Les méconnus de Loire

A l'assaut de petites appellations de la Loire, petites, mais surprenantes!

Touraine Noble Joué
Appelation noble joué
Rousseau Frères
Esvres (37)
www.rousseau-freres.com
Domaine La charmoise
Appellation Cour cheverny
Cuvée  2010
Jacky et Laurent Pasquier
Cour Cheverny (41)
Domaine du Paradis
Appellation Touraine Mesland
Cuvée Tradition 2009
Philippe Souciou
Onzain (41)

Petite activité oenologique!!!


J avais gardé mes bouchons en liége......Un cutter, de la colle......ma fille chérie..Voilà ce tableau tronnera en bonne place dans ma future cave!!!!

Matériel acheté à GALBE zone de Malemort route de Tulle

LES INCONTOURNABLES DU VDMA


Aux premières chaleurs, l'esprit ramène vers le Sud. On descendra alors avec bonheur la vallée du Rhone jusqu'à Tavel et ses vins réputés faciles. C'est là, au coeur d'un cirque de terre chaude et de pierres blanches, qu'Eric Pfifferling cultive son amour inconditionnel des vins natures.


HEUREUX QUI COMME ERIC...

On m'avait promis un vigneron rugueux. Un géant intransigeant et taiseux. A peine si je n'allais pas rencontrer le Cerbère du vin nature, le gourou d'une mystérieuse secte bio-bio. Rien de tout ça. Pour peu qu'on aille le chercher chez lui, à Tavel, en laissant ses certitudes à la porte, Eric vous paraîtra même tout l'inverse: puissant certes, économe de ses mots sans doute... Et pourtant heureux de les partager. Tout miel en fait. Rien d'illogique pour un ancien apiculteur. 
"Les abeilles, c'est une école de calme et de concentration, raconte-t-il. Lorsqu'on travaille avec les abeilles on travaille du vivant. Avec elles, tout joue: le climat, l'humeur, le ressenti... Chaque jour est différent. Les abeilles ça ne se "maîtrise" pas. Ça s'accompagne... C'est un apprentissage d'humilité. C'est comme la vigne, d'une certaine manière: on peut "prendre part" mais on ne "dirige" pas. Et puis le travail avec les abeilles, c'est une école pour le vin aussi: sur les arômes... Les intensités... Ca fait 30 ans que le miel et le parfum des fleurs ne me quittent plus."
Pas de hasard donc, si l'on retrouve ces parfums et ces arômes dans les vins d'Eric Pfifferling. Au coeur d'une appellation réputée pour ses rosés faciles et ses rouges trapus, il élève ses grenaches en douceur, avec finesse et même, pour certaines de ces cuvées, un flirt assumé du coté des Pinots et de la Bourgogne. Terres d'Ombre, Pierre Chaude, le Chemin de la Brune, les Traverses... Ses cuvées sont le "Miel de Tavel", a écrit Sylvie Augereau, dans un de ces raccourcis saisissants dont elle a le secret. "Comme des Beaujolais du Sud" renchérit un critique avisé. Pour une fois, Eric accepte le compliment.
"La première fois que j'ai bu les Morgon de Marcel Lapierre, raconte-t-il, j'ai été bouleversé. Lui et Jean (Foillard, ndla), sont des génies. J'aime pas beaucoup l'idée du disciple et du Maître, mon truc à moi c'est plutôt ni Dieu ni Maître..." 
Il sourit puis ajoute, gourmand: "Mais oui... Cette filiation, là, elle me fait plaisir."

Cela fait 20 ans maintenant qu'Eric a repris les 4 hectares de vignes que possédait sa grand-mère au coeur du cirque de Tavel. Il y a ajouté 3 hectares, pas un de plus. Pour le raisin d'abord, puis pour la coopérative. Cette année, il signera, le dizième millésime du Domaine de l'Anglore ("Lézard", en occitan). 
"On a commencé en 98 avec Jean-François Nicq, des Foulards Rouges (Roussillon, ndla). On a passé des soirées, des nuits, à discuter de politique et de nos vins, de la façon de les faire. A tenter de faire émerger une nouvelle génération de vignerons, là où il n'y avait que deux ou trois moutons à cinq pattes. On était avec des gars comme Loïck Roure, Edouard Laffite, Gérald Oustric (Domaine du Possible et Domaine du bout du monde en Roussillon et Domaine du Mazel en Ardèche, ndla)... Ensemble, on a appris à faire du vin autrement."
Ne lui parlez pas de réglementation. Eric s'en fiche pas mal qui boude les commissions d'agrément et sort la plupart de ses cuvées en Vin de Table. Rebelle, passionné, utopiste? Tout ça mélangé. Il assume.
"Gosse j'ai été renvoyé trois fois de l'école. A 20 ans, j'ai eu une période, disons, un peu radicale... Et c'est vrai qu'on a un coté "gang de la gauche prolétarienne", comme tu dis. Mais ma vérité, c'est plutôt que j'ai jamais bien supporté l'autorité".
Insoumis, c'est le mot. A part, bien sûr à ses vignes. Là, le militant de la cause redevient un guide patient, concentré, paisible. A l'heure d'ébourgeonner ("la belle oeuvre", comme disait le père de sa femme, Marie), ou de partir piocher les trois hectares qui lui restent à travailler avant la fin juin, le vigneron se souvient des leçons de l'apiculteur.
"Tu ne peux pas forcer la nature. Il n'y a pas un millésime qui ressemble à un autre. D'une année sur l'autre, je peux tout perdre, je le sais. Ça a failli m'arriver en 2002, l'année ou nous avons perdu les abeilles et les trois-quarts de la récolte dans les inondations. Ça aussi, c'est une leçon d'humilité."
Un silence et puis il ajoute:
"Pour moi la révolution, tu vois, ça n'est plus tout raser. Mais plutôt trouver l'équilibre... Transmettre. A 50 ans, je peux dire que je suis heureux, ouais... Je changerais pas ma vie. Mes fils ont grandi ici. Donner ça à mes enfants, cette nature, c'est une chance inouïe."
Faut-il croire que c'est ce bonheur tranquille que l'on sent dans ses vins?

Vers une finance équitable ?

Alors que vient d’être publié le 13ème Rapport moral sur l’argent dans le monde, force est de constater qu’outre le sacro-saint critère de rentabilité émergent dans la finance des principes de solidarité et d’éthique par l’intermédiaire de nouveaux types de placement. Le mouvement grandissant du commerce équitable serait-il entrain de gagner le monde de la finance ?

Un placement dit solidaire permet à son souscripteur de passer du rôle de simple consommateur de produits financiers à celui d’acteur économique co-responsable. Par l’intermédiaire de critères qualitatifs transparents, une société financière durable qui se respecte ne se contente pas simplement d’exclure certains secteurs (armement, tabac, sexe...) mais sélectionne activement des projets sur leur utilité écologique, sociale (lutte contre l’exclusion par exemple), associative ou leur impact sur le développement de l’économie locale (micro-entreprise). Les meilleures d’entre elles ont mis en place un comité d’éthique d’attribution et publient chaque année la liste détaillée des principaux prêts octroyés.

Si épargner autrement n’en est qu’à ses balbutiements (moins de 1% des encours en Europe), les véritables fonds socialement responsables pourraient être bien plus qu’un simple effet marketing et ouvrir la voie à une citoyenneté économique inédite.

En savoir plus :
www.lanef.com
www.finansol.org

Les vins de la famille GOISOT en Saint Bris


Jean-Hugues et Ghislaine Goisot, à la suite de Guilhem, sont les vignerons de ce domaine situé dans le bien nommé village de Saint-Bris-le-Vineux. Les vignes sont situées sur les communes de Saint-Bris et d'Irancy. Paradoxalement si la vigne existe depuis le XIVè siècle, Saint Bris n'a été classé en AOC qu'en 2003. Cette jeune appellation de la Bourgogne septentrionale s'épanouit à 3km au sud d'Auxerre, à 180 km au sud-est de Paris et 300 km au nord de Lyon. Elle ne couvre que 128 hectares. Elle a la particularité d'être produite uniquement à base du cépage sauvignon, contrairement aux autres blancs de Bourgogne produits à base de chardonnay ou d'aligoté. C'est l'unique vin blanc bourguignon produit à partir de ce cépage. Le domaine de trente hectares est exploité en agriculture biologique et en bio-dynamie certifiée sur des sols argilo-calcaires. On qualifie les cuvées de Saint Bris de "vins de roche".  Ceci pour exprimer la minéralité de ces vins, on évoque aussi leur vivacité et également un caractère fruité. Les vins sont élaborés au cœur du village dans un réseau de caves souterraines qui datent des XIè et XIIè siècles qui constituent un patrimoine culturel de ce village. Sur cette appellation la famille GOISOT nous propose deux cuvées : le Saint Bris Moury et le Saint Bris Corps de Garde. L'originalité et la qualité de ces vins méritent vraiment une dégustation.

La divine surprise de Bruxelles


Mais quelle mouche a donc piqué Mariann Fisher-Boel? A la surprise générale ce matin, la Commissaire Européenne à l'agriculture a décidé d'enterrer son fameux projet de "rosé de coupage". Pour ne pas risquer, explique-t-elle, de "saper l'image du rosé de tradition". Exit donc l'idée saugrenue de réaliser demain des cuvées issues de l'assemblage de vin blancs et de vins rouges. Le rosé restera "de saignée" ou "de presse" (comme décrit précédemment ici), mais "de coupe" point.

Soulagement des puristes... Et de Michel Barnier, encore-Ministre de l'agriculture et tout juste élu au Parlement Européen. On ne peut rêver meilleurs débuts pour le nouvel édile qui rêve, on le sait, de devenir dans la foulée l'un des membres influents de la Commission de Bruxelles. Pour une fois, la tambouille politique aura servi la cause... Ainsi que la mobilisation des producteurs français, italiens, espagnols et suisses (photo ci-dessous), unis pour l'occasion.

Mais dans l'affaire, quelques masques sont tout de même tombés. Car si on ne peut en vouloir à la danoise Commissaire de ne boire que du lait (?), les observateurs avertis retiendront que les industriels français du vin, eux, n'ont pas défendu bien fort les valeurs du rosé "traditionnel".
"La plupart de mes interlocuteurs me disaient finalement que si les autres le font, il serait dommage de s'en priver...", confiait récemment Michel Barnier.
Pas de petit profit pour ces groupes qui espéraient ainsi écouler des stock invendus (blanc et rouge) sur le marché exponentiel du vin rosé. Ceux-là hurlaient de jour contre les "bureaux de Bruxelles" et le coupage... Mais croisaient les doigts, la nuit, pour que tout se fasse comme prévu. Les voilà fort marris. On ne les plaindra pas...

Lire les épisodes précédents: "Au nom du rosé" et "Le rosé, cause perdue?"

DECANTER FINE WINE ENCOUNTER

The VIGNOBLES MARIE LAURE LURTON will be at the DECANTER FINE WINE ENCOUNTER

Date : Saturday 16th June 2012

Place :   The Ballroom, The Grand Ballroom 1 & 2
The Landmark Hotel
222 Marylebone Road
London NW1 6JQ

Times : 11 am to 5 pm

Stand : 30

Le concours de dégustation du Festivin 2009

Vendredi dernier (5 juin) le concours de dégustation amateur et de sommelier s’est déroulé à l’Auberge de la Baie de Caraquet dans le cadre du 13e Festivin. Malgré une participation moindre par rapport à l’an dernier le concours a attiré quelques nouveaux visages surtout du côté des amateurs (Non-sommelier). Chez les professionnels, Robert Noël, sommelier d’Alcool NB a remporté les grands honneurs et le prix en argent de 1000 dollars à la première position. Il a été talonné par Paul Leblanc de la région de Shédiac qui remporte 300 dollars pour la 2e position. Chez les amateurs, j’ai répété mon exploit de 2007 alors que j’ai décroché la première position devant Alain Chiasson originaire de la Péninsule acadienne mais qui vît présentement à St-Jean. Fait assez ironique cette première position me donne l’opportunité de gagner une dégustation avec quelques invités et qui sera animée par mon bon ami et sommelier Robert Noël d’Alcool NB. (Valeur de 1000$) Seulement 5 amateurs étaient inscrits au concours et plusieurs sont d’avis que la compétition amateur devrait se dérouler à part de celle des sommeliers, en dehors des heures de travail, car la participation serait probablement plus grande. Chez les pros, il y avait 5 sommeliers, ce qui est moindre que la participation de l’an dernier. Fait à souligner le gagnant de l’an dernier chez les non-sommeliers, Jean-Eudes Savoie a fait l’exercice avec les pros. C’est donc dire que je serais de l’autre bord de la table moi aussi l’an prochain afin de me mesurer dans la cours des grands…j’ai une année pour me préparer.

Chateau Cantelys Pessac Leognan 2002 Blanc




Allez j'avoue au risque d'effrayer mes amis cavistes, j'étais à Maxplus (un destockeur)
 je tombe sur la mise en rayon d'une palette celui d'un Pessac leognan Blanc; Un coup d'internet sur le télèphone portable....c'est le même proprétaire que  Smith Haut Laffite, le prix est cassé de 50% j'essaie!!!

Et bien, j'ai eu le nez fin!!!
Un vin à la couleur jaune paille le nez est fruité sur des notes de sous bois, de craie, tout cela est plaisant!!!
En bouche l'attaque est douce pas d'acidité mais en bouche le gras  est là avec des notes de noisettes avec un leger beurré..une gourmandise !!

Un vin de gastronomie c'est sûre mais il convient de le boire dans l'année, le lieu d'achat esst risqué car il ne respecte en rien les conditions idéales de concervations.....c'est une prise de risque modéré au vue du prix!!!

Pour en revenir au vin, je l'ai adoré car j'aime les vins blancs élevés en fût de chêne un peu evolué!!!

L'accord : Un belle escalloppe de veau à la crême!!


Petits détails sur le vignoble :

Le Cru comprend 30 ha en production (20 en rouge et 10 en blanc).
Rendement : 33 hl/ha
Assemblage : 50% sauvignon blanc / 50% sémillon
Pressurage pneumatique
Débourbage statique à basse température
Fermentation en barrique, (50 % bois neuf).
Elevage sur lies avec bâtonnages réguliers pendant 10 mois.
Daniel Cathiard a racheté le Château Cantelys (Pessac-Léognan) en 1994. Situé sur une superbe butte
graveleuse face à la technopole de Martillac dans le prolongement du Château Smith Haut Lafitte et
Rochemorin, son encépagement est de 1/3 de blanc et de 2/3 de rouge.
La récolte 2002 a été assez tardive puisque nous avons débuté le ramassage des sauvignons blancs le 14
septembre, et terminé celui-ci avec les sémillons, le 30 septembre.
Ce ramassage tardif est la conséquence des conditions climatiques de 2002 qui ont conduit à une
maturation plus longue du raisin.
Ce millésime 2002 va se caractériser par une bonne maturité avec un degré élevé (environ 13% en volume)
associé à une acidité assez marquée (l’acide malique est présent en quantité supérieure par rapport à l’année
dernière)
Les vins blancs de Cantelys 2002 vont aussi allier concentration, puissance, et équilibre. Les arômes de
pamplemousse, d’agrume, de fruit jaune, issus du sauvignon complètent les notes plus grillés du sémillon.
La fermentation en barriques (dont 50% en bois neuf) et l’élevage sur lies avec batonnage vont compléter
la bouche de ce vin en renforçant son gras et son onctuosité.

Mon avis : 1ou 2 bouteilles pour un repas mais pas de necessité à garder en cave longtemps


Où :
Internet ou Max plus à malemort.

Prix : 6e (maxplus), 11e (internet)

Dégustation du Fat Bastard chardonnay 2006

Nom du vin: Fat Bastard chardonnay 2006

Cépage: Chardonnay
Millésime: 2006
Région: Languedoc-Roussillon
Pays: France
Catégorie: Blanc
Alcool %: 13.5
Date de dégustation: 2008/06
Prix: 16.99$ CAN
Ce vin est disponible au Nouveau Brunswick

La note du Tire Bouchon : 87

Famille d'arômes : épicées, florales, fruitées

Des fruits exotiques et de la poire. La vanille qui se dégagent au nez est liée à l’utilisation du fût de chêne pendant 4 mois.

Notes de dégustation: Un vin "français" à la méthode nouveau monde qui se distingue avec sa touche de fût de chêne, son goût noisette et épicé. Un vin rond en bouche, un vin d’intensité moyenne, rafraîchissant avec une finale croustillante et au goût de noisette.

2 ou 3 dollars de trop à mon avis.

Accord mets et vins: Pizza à la grecque, fromages, fruits de mer, volaille et pâtes à la crème.